L’Arbre au milieu

1986, in La Revue des revues n° 2

Avec ce no 14, l’Arbre au milieu passe de l’état de bulletin à celui de revue. Façon pour le petit groupe réuni autour de Bernard Lempert de sortir des frontières de la Bretagne.
« II n’est de vraie révolution que la révolution intérieure » est-il affirmé d’emblée dans l’article d’ouverture. Nourrie de la psychologie des profondeurs de Jung et des doctrines ésotériques où se côtoient les mystères de l’alchimie, de la kabbale et la sagesse hindoue, la revue s’inscrit dans le mouvement du « Nouvel Age », l’expression ayant pour origine le terme anglo-saxon de New Age né aux États-Unis à la fin des années 70 pour désigner tout un ensemble de pratiques alternatives où on retrouve les ingrédients de psychologie et de spiritualité mentionnés plus haut.
La revue s’intéresse donc au langage du rêve, auquel elle assigne une fonction privilégiée dans l’acte de création littéraire et artistique. Au total, 95 pages où alternent textes et reproductions d’eaux-fortes, d’encre de chine et d’huiles.


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