Cap au pire

Nous nous faisions l’an passé l’écho de la situation alarmante de la Bibliothèque interuniversitaire de Santé qui devait tailler à la hache dans l’ensemble de ses abonnements aux revues papier ou électroniques.
L’imparable vérité est dans les chiffres : en 2014, la bibliothèque s’est désabonnée de l’ensemble des revues imprimées (voir ci-contre l’image aujourd’hui des rayons de la salle d’actualité, désertés), a sacrifié les deux tiers des revues électroniques et abandonné la moitié de ses bases de données. Pour 2015, la réalité budgétaire ne fera que confirmer le désastre.
Le blog du personnel de la bibliothèque, BIU en danger, donne le détail de ce sinistre orchestré. On y trouvera le moyen de soutenir le combat de ceux qui ne peuvent s’y résoudre.

À qui le tour?