La Chronique revues proposée par Ent’revues & En attendant Nadeau

 

Ent’revues vous propose avec En attendant Nadeau une chronique consacrée aux revues.

Delphine Presles

 

Vient de paraître la 23e livraison de cette chronique collective qui, au gré des lectures des collaborateurs d’EaN, vous invite à découvrir des revues, des thèmes, qui ont retenu leur attention.

Une livraison qui rassemble trois revues qui donnent envie de penser, de remettre en cause les fausses évidences, de relire aussi : Tracés considère l’enjeu central de l’angoisse, Germinal la place et le rôle du politique et Europe consacre un numéro à Virginia Woolf.

 

 

Voici avec Tracés une revue trop confidentielle mais qui a le mérite de traiter de faits de civilisation avec l’originalité et le sérieux qui conviennent à de jeunes chercheurs. L’appel à des cas de figure qui remettent l’angoisse au cœur du rapport à l’institution et de la production sociale dans son cadre autant politique que d’individuation rend la lecture plus productive encore que l’on ne croirait… Lire la suite.

 

 

 

Toute nouvelle revue relance nos appétences de lecture, et c’est toujours une bonne nouvelle, a fortiori quand elle n’est pas parisienne, et c’est une équipe décalée mais très normalienne, d’ailleurs fortement signalée comme telle en des temps où l’on décrie tout individu marqué d’une vraie formation. Ce groupe nanti d’une quarantaine de talents et posé sous les auspices de Patrick Boucheron, Philippe Descola et Patrick Weil (pardon à tous ceux qui ne sont pas nommés) a sorti un livre-revue d’une belle maquette – cela compte aussi – aux presses du Bord de l’eau, sises à Lormont près de Bordeaux… Lire la suite.

 

 

 

En un temps de confinements prolongés, il est judicieux de lire le numéro que la revue Europe consacre à Virginia Woolf essentiellement, et à Jean-Paul Goux : il faut prendre des « notes sur la vie », réaménager le monde ou le regard porté sur lui… Lire la suite.

 

 

Retrouvez tous « Nos choix de revues »