« Fin de partie » pour Le Mâche-laurier

avec sa 25e livraison. « Le destin des revues est ainsi fait qu’elles meurent “depuis toujours déjà” » écrit François Boddaert dans le bref avis de décès sans amertume qui s’achève sur ces mots « …il nous semble apercevoir déjà les pales d’un moulin […] Le premier conquis s’appelait Obsidiane, le second Le Mâche-laurier, le troisième se nommera Secousse. » Faire une revue : un vice inguérissable.
À la fin de cette livraison, on trouvera l’index des auteurs, traducteurs et artistes qui en « auront mâché » depuis 1994. (juin 2008)