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L’Étrangère

Le premier numéro de L’Étrangère, qui paraît trois fois par an, est né en 2002. Revue élégante et sobrement illustrée, pour chaque numéro, par une œuvre plastique reproduite sur la couverte avec, toujours, le même fond couleur bordeaux, son nom évoque à la fois l’ailleurs et la féminité, gages d’un charme et d’une sensibilité toujours

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Tra-jectoires

Plusieurs étapes sont à présent repérables quant à la réception de l’œuvre de Philippe Jaccottet qui vient de faire l’objet de plusieurs monographies : entre autres, après l’essai d’Hervé Ferrage paru en 2000, les livres d’Isabelle Lebrat, Jean-Luc Steinmetz et Jean-Pierre Martin. À côté d’articles pionniers de première importance – Pierre Leyris en 1958, Jean-Pierre

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Toto et l’effet V. Revues et institutions : variations

Les liens qu’entretiennent la revue et l’institution sont complexes. L’institution génère la revue. La revue s’incarne parfois en institution. Le temps est le paramètre nécessaire à l’évolution de l’un vers l’autre. Au vrai, à travers l’étude des revues de théâtre, notamment Théâtre Populaire et L’Art du théâtre, l’enjeu recouvre pourtant et souvent, seulement, le discours

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Quelle place pour les écritures contemporaines dans la revue de théâtre ?

Alors que l’on constate une récente et soudaine accélération d’initiatives consacrées aux écritures contemporaines, il peut sembler utile de s’interroger sur la place accordée à ces formes et pratiques dans la revue de théâtre. Quelles sont donc ces revues ? Quand et comment sont-elles nées ? Quelle part consacrent-elles aux écritures contemporaines ? À qui

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Les revues de cinéma en France dans les années 90 : un dobermann à bout de souffle ?

À part la diminution progressive de leur nombre, quoi de neuf dans les revues de cinéma pendant la dernière décennie ? D’abord la floraison d’une jeune critique dispersée mais vivace face à l’impression de stagnation et de ressassement consensuel des publications les plus anciennes. Ensuite, un questionnement douloureux sur les rapports critique-théorie-patrimoine doublé d’une frénésie

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Revues de théâtre et combats esthétiques au XXe siècle

Les revues de théâtre ne sont pas seulement une source d’informations pour l’historien du théâtre du XXe siècle. Elles doivent être appréciées et étudiées comme de véritables productrices de théâtre, et ceci considéré des deux points de vue : celui de la création théâtrale – en tant qu’elles sont les vecteurs d’une légitimation esthétique de

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Théâtre de France. Photographie d’une décennie cardinale

Pour le cinquantenaire d’une publication annuelle, Théâtre de France, qui de la saison 1950-51 à celle de 1955-56 constitue un gisement documentaire aussi riche que méconnu. Par son éclectisme, cette revue donne à voir – notamment grâce à plus de 1 500 clichés, constituant du coup une manière de photothèque – la richesse et la

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Sous le signe des revues : d’Europe à frictions »

D’Europe à la création de frictions, en passant par Auteurs-Acteurs, Théâtre / Public, Les Cahiers de la Comédie-Française, Coups de théâtre, parmi d’autres encore, l’itinéraire de Jean-Pierre Han croise la passion de théâtre et le goût immodéré de la revue. Prospero et plus encore Cripure constitueront deux étapes remarquables avant une rencontre avec Robert Cantarella

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André Bazin et les revues

La base de données sur les écrits d’André Bazin (« BAZ-IN »), qui fait l’objet dans l’article d’une première présentation publique en deux tableaux, décompte actuellement, en dehors des quelques ouvrages contresignés ou posthumes, 2 544 articles sur les 194 repris à ce jour en ouvrage. Seul 5,27 % de l’œuvre complète de cet admirable

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À des titres divers

Les titres des revues de théâtre, en France depuis 1950, tel est le sujet de cet article. Les titres y sont analysés du point de vue sémantique (rapports au contenu et au projet éditorial), pragmatique (comment sont-ils perçus et décodés ?), morphologique. Ce qui conduit à pointer le moindre signe orthographique et graphique susceptible de

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