« Fin de partie » pour Le Mâche-laurier
avec sa 25e livraison. « Le destin des revues est ainsi fait qu’elles meurent “depuis toujours déjà” » écrit François Boddaert dans le bref avis de décès sans amertume qui s’achève sur ces mots « …il nous semble apercevoir déjà les pales d’un moulin […] Le premier conquis s’appelait Obsidiane, le second Le Mâche-laurier, le troisième se nommera
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