Sophie Loizeau : La compagnie des revues
Y a-t-il meilleur éloge des revues que de faire entendre qu’elles accompagnent les écritures qui s’inventent, les auteurs en recherche ; qu’elles composent, dans la pluralité des voix, une poétique qui leur est propre ; qu’elles savent séduire ou retenir des poètes dont l’œuvre s’accomplit par ailleurs, dans des livres ? Les revues, Sophie Loizeau,
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