Créée en 1946 par Kleber Haedens, cette publication couvre tous les champs du spectacle. Si ses articles sur le théâtre sont faibles, elle brille par les contributions sur le cinéma, milite pour les arts « mineurs » (cirque, jazz…), ouvre ses chroniques à l’Italie, au Québec ou aux États-Unis. En littérature, malgré l’absence de ligne
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Dès 1963, des lettres d’Althusser font mention de la volonté du philosophe de créer une revue. En 1966, avec la constitution d’un groupe de travail et la commande d’articles, un projet se met en place : il s’agit notamment de s’opposer à d’éventuelles « récupérations » après les succès de Pour Marx et Lire le
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Dès l’enfance familiarisé avec la fréquentation des revues, Bernard Pingaud, écrivain, citoyen engagé, collabore toute sa vie à de nombreuses revues. Lecteur pendant la seconde guerre mondiale de Je suis partout ou de La NRF de Drieu La Rochelle, il rencontre Jean Le Marchand, Roland Laudenbach qu’il croisera souvent par la suite. La découverte des
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On connaît l’aphorisme anglo-saxon « publish or perish » qui a valeur de loi pour tous les tenants des sciences dures. Le champ de bataille éditorial des scientifiques est constitué par un réseau bien établi de revues internationales dont le prestige est finement hiérarchisé par un système d’évaluation statistique des citations. Ce terrain s’est considérablement
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Inverses, revue annuelle apparue en 2001, est éditée par l’association Les amis d’Axieros. Elle se donne comme figure tutélaire ce poète oublié, mort à vingt-huit ans en 1927, archétype de « l’artiste homosexuel ». Si ce n’est pour ses qualités littéraires, c’est pour la liberté de ses écrits où il évoque sans détours des amours
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Le postulat de la revue Copyright Volume ! publiée aux Éditions Mélanie Seteun, en collaboration avec l’Irma (Information et ressources pour les musiques actuelles : 22, rue Soleillet, 75980 Paris Cedex 20. www.irma.asso.fr), est de développer un regard et une analyse scientifiques sur les musiques populaires et actuelles telles que le rap, la techno ou
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Sobre et sombre, éclaboussée d’un titre rouge sang, Moriturus a été conçue en août 2001 par un groupe d’amis, jeunes poètes pour la plupart. Cette revue aurait peut-être vu le jour sous des airs moins moroses si l’un d’entre eux, Guy Viarre, n’avait disparu prématurément, Guy Viarre qui avait choisi jusqu’au titre de la revue
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Nouvelle : dès l’abord, la revue Rond-Point, du théâtre du même nom, se veut nouvelle. Typographie, contenu, propos. L’idée est belle, et apporte un peu d’air ; pourtant, l’ouverture par le texte fondateur de l’EAT (les Écrivains Associés du Théâtre) datant de… 1969, avec les précieuses signatures de Roland Dubillard, Eugène Ionesco, Romain Weingarten et
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Dits, tout en étant une revue institutionnelle publiée par le premier musée d’art contemporain de la Communauté française de Belgique, est dotée d’une régie publicitaire, d’un diffuseur et de deux éditeurs associés (les éditions Luc Pire et Filigranes), ce qui en fait un objet éditorial autonome. De la même manière, les thématiques abordées dans la
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Dans son liminaire, cette revue cite abondamment Raymond Lulle, Charles Péguy, Franz Kafka, Hannah Arendt et Novalis. Parce qu’elle estime que « là se joue le sens », cette publication se veut « épopée européenne ».De fait, on découvre dans ce numéro des traductions des Espagnols Vicente Huidoboro et Luis Cernuda ainsi que de l’albanais
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