À l’aune de la morale : les revues italiennes des années vingt et trente
La revue Solaria (Florence, 1926-1936), ouverte aux nouveautés européennes et perçue comme en rupture par rapport au passé, apparaît tributaire de la tradition humaniste et moraliste de la critique italienne. L’idée d’une liaison entre destructuration de la forme et dislocation du personnage associée à la mise en pièces de la notion de personnalité demeure étrangère
Publié le