Place de la Sorbonne
A-t-on jamais besoin d’une nouvelle revue de poésie ? Et les créateurs de revues poétiques se posent-ils seulement la question ? Jamais, apparemment, et on doit leur en savoir gré. Tout à leur projet, tout à leur gageure, ils osent, très conscients des enjeux de leur acte volontariste, et pour les plus maladroits d’entre eux
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