Cet article évoque Paul Barton et sa collaboration aux revues antitotalitaires des années 1950 à travers deux publications qui se situent en dehors du champ des périodiques pour artistes et intellectuels. Parallèlement à sa collaboration à Preuves, Le Contrat social ou Saturne, ce dernier fonde et anime, de 1951 à 1954, Masses-Information, modeste bulletin ronéoté
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Entre 1951 et 1953, une météorite surgit dans l’histoire du surréalisme : une revue s’est intéressée au surréalisme et au cinéma, au surréalisme dans le cinéma et au cinéma surréaliste. Hommage à L’Âge d’or de Luis Buñuel, L’Âge du cinéma, revue éphémère avec six numéros, eut le temps de relancer les amours contrariés entre surréalisme
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Lancée en 1961 après le succès inattendu du Matin des magiciens, la revue Planète trouve rapidement son lectorat et, en une dizaine d’années, cumule plus de deux millions d’exemplaires vendus. Hormis son format original carré et sa tenue typographique, peu de choses semblent rester de ce phénomène éditorial, qui donne naissance à un des meilleurs
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Hommage au fondateur de La Revue des revues disparu le 6 octobre 2020 avec la reprise de deux textes où il exposait de larges pans de sa pensée sur les revues. Dans un entretien donné au Bulletin des Bibliothèques de France, en 1988, il détaille la nature des revues, leurs situations et défis de l’époque
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Entretiens et textes libres – plus un compte rendu de lecture – offrent un portrait groupé de quinze revues actuelles créées et animées par des femmes, à l’exception d’une d’entre elles, mais dont le thème est “les femmes”. Revues très diverses, établies ou balbutiantes, littéraires, artistiques, de sciences humaines, engagées, radicalement féministes parfois, elles évoquent
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Émanation en 1934 du Comité mondial des femmes contre la guerre et le fascisme, portée par Gabrielle Duchêne, compagne de route du Parti communiste français, militante féministe et pacifiste, Les Femmes dans l’action mondiale réalisa une alliance singulière entre rubriques censément « féminines » (cuisine, ménage, maternité, coût de la vie…) et articles politiques, culturels
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Si Anne Querrien n’en a jamais créé, elle fut et reste une « faiseuse de revue ». Elle retrace son parcours depuis Recherches universitaires, du Centre étudiant de recherches syndicales, poursuivi avec Recherches créée en 1966 par Félix Guattari. L’amitié avec Xavier Joseph, dès les années étudiantes, la conduit à la tête de Éducation permanente.
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Christiane Peuillet qui signait alors Christiane Chevigny raconte sur un mode très personnel la revue Aires qu’elle fonda avec Dominique Bazet-Simoni, Michel Pasquier en 1985. Son récit commence par des rencontres, des lieux, des lectures, des revues contemporaines : un riche terreau qui allait faire germer le désir de revue. Le titre fut inspiré par
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La sobriété éditoriale de Petite n’a égale que la vivacité des couleurs de sa couverture et la bigarrure des textes – prose et poésie – qu’elle a mis en scène. Par ses choix, elle présente dans ses 19 numéros un reflet de la poésie de la décennie 1995-2015 . L’une de ses fondatrices, Christiane Veschambre,
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Catherine Weinzaepflen se souvient de Land …créé en compagnie de Christiane Veschambre en 1981. Chacun des 9 numéros parus jusqu’en 1984 s’organisait autour d’un thème non nommé pour le lecteur qu’une couverture créée par un artiste permettait d’approcher. Sensible à faire connaître des textes de femmes, les sommaires étaient paritaires. L’amitié avait sa part dans
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