Le 10 mars 1900 paraît ce mensuel culturel ambitieux (« le magazine de l’intelligence ») fondé par William Alton Mann, un colonel tenté par l’édition. Il vise un tirage de 100 000 exemplaires et rémunère confortablement ses contributeurs. à ses débuts, elle publie pour l’essentiel des auteurs américains de la bonne société bien oubliés, mais
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Si l’histoire de L’Île Sonnante (1909-1913) est celle de toutes les petites revues de la Belle Époque, c’est-à-dire celle d’un groupe d’écrivains bien décidés à créer un organe où ils soient chez eux, avec ses tentatives avortées de lancements, une naissance – enfin ! – puis des difficultés à croître et à survivre qui progressivement
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Le rapport de Mauriac aux revues pourrait se résumer à des ambitions jamais totalement assouvies. Écrivain-journaliste, il est aussi un contributeur régulier de périodiques, sans pour autant réussir à y mettre en place une pensée collective. à partir de la revue Vigile (1930-1933), imprégnée du renouveau intellectuel catholique dont elle souhaite devenir le fer-de-lance, cet
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Le premier numéro de la revue Europe fut publié en février 1923. Depuis le printemps de cette année-là jusqu’à la fin de l’été 1939, quand la revue cessa de paraître pour ne renaître qu’au lendemain de la Libération, l’Espagne a occupé dans ses pages une place de tout premier plan. À partir de la fin
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Hispania, revue universitaire courageusement créée durant la Première Guerre, en 1918, afin que la plume devienne une arme au service de l’évolution des relations tendues entre la France et l’Espagne, dans le contexte de la neutralité de cette dernière, partagée entre germanophiles et francophiles. Sœur du Bulletin Hispanique de Bordeaux et de la Revue hispanique
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Créée par Blaise Gautier dans le foisonnement des prémisses du Centre national d’art et de culture Georges Pompidou, la Revue parlée était un périodique pas comme les autres. Il ne s’agit pas d’une publication imprimée diffusée régulièrement, mais d’une diffusion régulière de manifestations culturelles. La liste de ces manifestations est un véritable répertoire qui témoigne
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I 4 Soli [Les 4 Soleils] est une revue d’art italienne créée par le peintre turinois Adriano Parisot (1912-2004) et le chirurgien et collectionneur, Emanuele Micheli en 1954. Elle a connu certaine longévité avec ses 58 livraisons jusqu’en 1969. Son objectif a été de défendre l’art abstrait en Italie, en établissant des ponts avec l’étranger,
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Gilles Fournel et Henry de Grandmaison appartiennent à une génération de poètes qui se veulent continuateurs de René-Guy Cadou pour une poésie inscrite au cœur du monde et soucieuse de préoccupations humaines. En 1955, réunissant autour d’eux de jeunes poètes partageant leur conviction que la Poésie devait être agissante, les deux amis fondent une revue
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Ce qui frappe le lecteur en feuilletant les derniers numéros de L’Arbalète, c’est la splendeur de la revue fondée en février 1940 par Marc Barbezat, : le bouffant du papier, la sobre élégance de la mise en pages, la typographie en majesté, « la passion du Garamond ». C’est avec une presse à bras que
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Transbordements Le 19 juin 2017, sur son blog, L’Image sociale, l’historien et théoricien de la photographie, André Gunthert annonçait à ses lecteurs que le numéro 35 des Études photographiques serait le dernier . L’ancien fondateur de la revue ne s’étendait pas sur les raisons de cet arrêt qu’il qualifiait de « tristement budgétaires », il
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