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N/Z

 On oublie parfois l’utilité d’une reliure traditionnelle, la revue N/Z, qui en est dénuée, est là pour nous le rappeler. Composée d’une série de posters moyen format pliés en quatre et enserrés entre deux couvertures en carton brut, retenus par un élastique rouge épais habilement et joliment tendu, on n’entreprendra pas de la lire au

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Nectart

— Nectart. — Nectar ? — Non. Oui. Avec l’art en plus. Nouveaux Enjeux dans la Culture, Transformations Artistiques et Révolution Technologique. NECTART. — C’est un programme politique ? — C’est une revue, donc oui, bien sûr, c’est politique. Et celle-ci a un titre qui laisse peu planer l’ambiguïté ou le doute. Elle affiche un

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L’Incroyable

 Ci-devant, donc, L’Incroyable. Titrer comme ça une revue, c’est pour le moins osé. Clotilde Viannay, à l’origine de la chose, l’a fait. D’ailleurs, est-ce vraiment une revue ? Entre un format (23 x 33) plutôt courant en kiosques, les propositions commerciales d’encarts publicitaires et la mention « magazine » répétée, dans le colophon notamment («

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Faros

Rêver à la revue Moi qui ne sais me tenir à la montagne, y être, en être, cette nouvelle revue m’enchante à tous points de vue. La montagne est le thème de son premier numéro. Faros est son titre. Nous avions laissé la revue Klaatu (revue de cinéma de science fiction et de genres, voir

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Corps-Objet-Image COI

Les revues de théâtre recensées par Ent’revues ne sont pas par définition de simples programmes. Elles dépassent cet aspect de la production éditoriale pour s’échapper, approfondir ou inviter autour, pour réfléchir à ce qui fait… ce qui fait lieu (Revue Incise), ce qui fait corps ou artefact (Les Cahiers du masque, Puck), ce qui fait

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Comment s’en sortir ?

« Comment s’en sortir ? » : la question avait été posée, il y a trente ans, par Sarah Kofman, philosophe dont la présence s’affirme peu à peu, discrètement mais sûrement. En se plaçant sous le signe de la question kofmannienne, la nouvelle revue se situe dans une « tradition de pensée héritière des théories

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Le Chant du monstre

Avec ce quatrième numéro, Le Chant du monstre renouvelle son apparence en intégrant la maison d’édition sun/sun, tout en maintenant sa ligne éditoriale par définition liée à l’hybride et au disparate. Le format allongé de la revue, comme ses rubriques déjà éprouvées lors des précédentes livraisons demeurent des constantes ; en couverture, une bouche largement

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Les Cahiers de Tinbad

De leur propre aveu, Les Cahiers de Tinbad aspirent à devenir un « tam-tam en papier » pour échapper à l’océan textuel jaillissant sur le web chaque jour comme les vagues pendant les grandes marées balayent les côtes. Et sans autre intérêt que le spectacle hébétant de la profusion redondante. Avec des accents qui proviennent

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Apulée

D’abord, revue en mains, une première impression générale, qui est forte : un format généreux 19 x 26,5 cm, 400 pages exactement, trois bons centimètres d’épaisseur, près de 70 contributeurs (romanciers, poètes, artistes, nouvellistes, essayistes d’ici et d’ailleurs), l’objet pèse son poids. Physiquement, dirons-nous, il en impose. Il explose les normes, même. Oui, c’est ça

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L’image de la Grèce dans la revue Cahiers d’art (1926-1960)

Dès la fin des années 1920, avec une culmination progressive dans les années 1930, nous observons l’essor de revues associant comptes rendus sur l’art contemporain et articles sur l’art ancien, mélange qui représente de plus en plus de rubriques récurrentes. Cahiers d’art, la revue d’art contemporain de Christian Zervos, a couvert entre 1926 et 1960

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