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Le Chant du monstre

Avec ce quatrième numéro, Le Chant du monstre renouvelle son apparence en intégrant la maison d’édition sun/sun, tout en maintenant sa ligne éditoriale par définition liée à l’hybride et au disparate. Le format allongé de la revue, comme ses rubriques déjà éprouvées lors des précédentes livraisons demeurent des constantes ; en couverture, une bouche largement

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Les Cahiers de Tinbad

De leur propre aveu, Les Cahiers de Tinbad aspirent à devenir un « tam-tam en papier » pour échapper à l’océan textuel jaillissant sur le web chaque jour comme les vagues pendant les grandes marées balayent les côtes. Et sans autre intérêt que le spectacle hébétant de la profusion redondante. Avec des accents qui proviennent

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Apulée

D’abord, revue en mains, une première impression générale, qui est forte : un format généreux 19 x 26,5 cm, 400 pages exactement, trois bons centimètres d’épaisseur, près de 70 contributeurs (romanciers, poètes, artistes, nouvellistes, essayistes d’ici et d’ailleurs), l’objet pèse son poids. Physiquement, dirons-nous, il en impose. Il explose les normes, même. Oui, c’est ça

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L’image de la Grèce dans la revue Cahiers d’art (1926-1960)

Dès la fin des années 1920, avec une culmination progressive dans les années 1930, nous observons l’essor de revues associant comptes rendus sur l’art contemporain et articles sur l’art ancien, mélange qui représente de plus en plus de rubriques récurrentes. Cahiers d’art, la revue d’art contemporain de Christian Zervos, a couvert entre 1926 et 1960

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André Malartre et la revue iô

Vingt années après le décès de son fondateur, le poète et homme de théâtre André Malartre, la revue iô apparaît aujourd’hui, parmi les revues qui essaimèrent de la Libération jusqu’aux années 50, comme exemplaire d’un mouvement de renaissance et d’affirmation de la vie, porté par des jeunes gens nés dans les ruines du Premier conflit

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Doc(k)s. Archipel de toutes les poésies expérimentales

Julien Blaine se trouve être, dès les années 1960, au centre d’une activité éditoriale internationale qui sert tout à la fois de pivot et de pilier, de laboratoire et de surface d’essai, de chambre d’écho et de résonance, pour toutes les revendications culturelles, entendons militantes, et artistiques, tout particulièrement poétiques, mineures. Julien Blaine édite des

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Les Lèvres nues. Une arrière-garde en devenir

Le surréalisme belge n’a pas partagé grand-chose avec son cousin français, dominé par la figure d’André Breton. En publiant à Bruxelles, d’avril 1954 à novembre 1958, la dizaine de numéros de la revue Les Lèvres nues, Marcel Mariën fit la démonstration que la révolte qui s’était emparée de la jeunesse européenne au début du siècle,

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Le Festin d’Ésope. Première revue / première œuvre de Guillaume Apollinaire

À 23 ans, Guillaume Apollinaire qui débute alors en poésie, fonde et dirige Le Festin d’Ésope. La revue paraîtra de novembre 1903 à août 1904 et comptabilisera neuf numéros. Dans sa déclaration initiale, elle affiche son souci de n’être « l’organe d’aucune école » ; et il paraît bien difficile en effet de dégager de

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The Black List

L’infamie est un titre de gloire que l’on porte rarement à la boutonnière. Pourtant, il y a bien une certaine ivresse à se savoir un réprouvé. Dans le domaine des Lettres, le nom de cette revue nous propulse d’un coup des décennies en arrière, au temps du Comité national des écrivains dont la commission d’épuration

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Rendez-vous

Un torse bleu phosphorescent, un bras levé et un visage masqué émergent à peine de la presque nuit d’un fond violine. C’est une photographie retravaillée du spectacle chorégraphique Ciguë d’Éric Arnal Burtschy qui fait la couverture de cette revue d’ample format consacrée à ce que l’art d’aujourd’hui peut offrir de moins facile à classer dans

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