Éditorial
Les revues montrent le bout de leur nez et ce n’est pas trop tôt. N’en déplaise à tous ceux, désolés ou insoucieux, qui s’accordent pour estimer qu’est enfin venu le temps de leur irrésistible déclin sous les assauts d’on ne sait quelles modernités technologiques triomphantes. Ce qui demeure, persiste, en toutes occurences, c’est que la
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