La parution d’une nouvelle revue est toujours un petit événement, ne serait-ce que pour son équipe. Sans s’en apercevoir toujours, le monde qui l’entoure est touché lui aussi par cette éclosion : ici et là, des couvertures se laissent voir, des gens parlent, et parfois même de futurs lecteurs l’achètent. Ses thématiques ou son
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Revue de littérature et de photographie, Possession immédiate qui peut se prévaloir d’une qualité d’impression digne d’un magazine de luxe, se propose de livrer avec son volume IX une « Contre-offense » afin de réagir aux inéluctables dérives du monde moderne, toujours incarné par cette décevante société de consommation. L’offense est celle qu’inflige aux faibles la
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Organe de « Contre culture – Critique sociale – utopie », L’Échaudée est de ces revues militantes qui ont refleuri depuis quelques années parce que les choses, lit-on, doivent changer. Elles le doivent, c’est-à-dire qu’elles ne peuvent empêcher ce mouvement, tandis qu’il leur faut, moralement, admettre la faillite d’une logique du monde qui va s’effacer au
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Panthère première est une formidable revue militante, féministe, politique, en colère mais pas enragée. Cette cinquième livraison est imprimée en février, je vous écris du futur antérieur, le dernier jour du mois de mars, au début de la troisième semaine de confinement en France. La revue se pare d’une couverture-œuvre, à chaque fois
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La revue Diasporiques publie dans une livraison sur deux un texte de la série des « Grands Transparents » de Maurice Mourier. Entreprise au long cours accueillie dans une publication qui ne traite pas de littérature au premier chef, c’est une aventure littéraire qu’on ne peut lire qu’en revue. Maurice Mourier, homme de revues s’il en est – d’Esprit
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La jeune équipe de Zone Critique a créé il y a sept ans une revue numérique qui s’emploie, selon ses propres termes, à fouiller « une forêt de grands livres à lire, une forêt de grands films à voir ». Il faut d’abord noter l’enthousiasme qui portait cette initiative, l’énergie d’une équipe, la volonté de
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Parmi toutes les initiatives prises par des revues*, des éditeurs ou des portails pour partager et proposer des contenus en ligne, afin de contribuer à un moindre confinement, une revue se distingue qui, non contente de proposer son tout nouveau numéro « papier » en pdf intégral, offre chaque jour une sélection de lectures, mais aussi de
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Fragile mais généreuse. Fragile mais ample. Telle est cette nouvelle revue en ligne qui se déploie en 5 rubriques : « Le Corps », « La Lettre », « L’Œil », « L’Oreille », « Les Raisons » qui montrent l’étendue de ses curiosités et lui valent bien le pluriel de son sous-titre :
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La haine est un plat qui ne se mange pas. Il est indigeste, lourd, peu subtil, comme un sujet poisseux et plein d’arêtes. On ne goûte pas la haine, elle vous dégoûte. On n’aime pas la haine, on la hait. Ne serait-ce pas ce que disent en substance, et en chœur, les auteurs du
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Voici une revue qui propose, depuis 1975, des inédits, des études et des informations concernant d’une part Jacques Rivière (1886-1925), écrivain et directeur de La Nouvelle Revue française, d’autre part son beau-frère, Alain-Fournier (1886-1914). La sœur de ce dernier, Isabelle (1889-1971), fut en effet la femme de Jacques Rivière, entre 1909 et 1925. Et
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