Études céliniennes n° 8
La superbe photographie qui orne désormais la couverture des Études céliniennes pourrait passer pour une allégorie des figures céliniennes. Le noir de la nuit (parfait, profond) domine, éclaboussé par le jaune saturé qui découpe pans de mur et façades. Dans ce contraste extrême se loge l’ambivalence de l’écrivain : styliste éperdu et pamphlétaire répugnant, le
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