Au fil des livraisons

C’était en 2018. Déjà ? (sur Bouclard n° 5)

  Cinq ans passés, à recevoir des nouvelles, des publications de livres, de revues parfois. Et Bouclard publie son cinquième numéro et nous annonce que c’est le dernier !   Nous avions chroniqué le premier numéro, riche de promesses, emplis de fantômes (souvenir de l’Institut Métapsychique International, à Paris, photographié par Emmanuelle Corne). Et si

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Que le voyage commence

    Il y a parfois une impression d’évidence.   Non pas de déjà-vu, c’est quelque chose de plus subtil, comme retrouver une connaissance, sans se souvenir de son nom. Et puis les questions arrivent.   Ainsi, le titre de cette nouvelle revue, un mot familier que l’on n’emploie jamais, de là d’où je viens*,

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Sabir no 4 : Et toujours en été

  La revue constituait le cœur de la 13e périphérie du Marché de la poésie, à la Maison de la poésie de Nantes : c’était le 1er juin 2022. Paru en avril, nous vous proposons une révision, bel exercice pour la rentrée.   Sabir est élaborée en Belgique. « Collection d’objets littéraires » annuelle, entre revue

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Faire connaissance : Fiction-Science #0

La seconde revue ? Au prochain numéro. Bientôt… [suite de la chronique Strate(s)]   C’est un envoi aux Docteurs Buvard et Pichet, c’est vous dire !   Vous dire quoi ? Que cette nouvelle revue prend le parti de l’humour, tout en présentant sérieusement les travaux des uns des autres.   Sous-titrée Recherche et bricolage science-art, Fiction-science

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Strate(s) : l’autre aventure de l’espace

    Tête en l’air, air du temps : lorsque votre voisine de bureau revient du théâtre de la Reine Blanche, à Paris, où officie Ulysse Baratin (qui collabore avec Ent’revues, notamment au festival VoVf…), un lieu où l’on travaille sur les rapports arts/sciences ; et puis récemment nous recevions la moitié du fourbi (soirée

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Habitante n° 0 : Lanceuse d’alertes de nos futurs possibles

Dans l’époque que nous traversons, des questions reviennent, récurrentes, sous diverses formes, qui joignent l’intime et l’universel, le local et le global… L’épidémie en cours à relativisé des territoires, des façons de penser, de vivre et d’imaginer le futur. Elle ajoute une vibration urgente aux rythmes des transformations du monde. Des revues s’en font la

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Pages inspirées sur les « Angles morts » : tête-à-tête n° 11

Parfois une revue déclenche immédiatement son commentaire, l’envie de faire savoir. Et d’autres s’imposent après un temps long, la permanence sous le regard. Mais comment en parler ?   Par exemple, tête-à-tête no 11, paru en décembre 2020.   On sait que les revues s’extraient de l’actualité : quand même, je suis en retard.  

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Ouvrez, ouvrez les pages aux oiseaux : Bleu n° 1 (chiche !)

  Franchissez le bleu, comme l’on plonge dans l’eau. La couverture est familièrement énigmatique, comme un rêve, vous regarde. Dès l’ouverture l’on s’évade : cette revue réussit d’emblée le pari de l’équilibre, entre les textes, les vides généreux et les illustrations. Nombre de pages accueillent des oiseaux, perruches ou perroquets envolés, qui dynamisent et élargissent l’espace :

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Au fil des livraisons

Rester vigilants : Communications n° 107 et Écarts d’identité n° 135

Comme si les savoirs s’ajoutaient, mécaniquement…   Comme si le partage d’intelligence s’amplifiait des réseaux et canaux d’information démultipliés…   Comme si le progrès, ah Le Progrès !, était chose acquise, allait de soi…   Ce seraient des vœux pour toutes les années qui commencent. Mais sans cesse sur le métier remettez votre ouvrage :

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Sur les revues

Feuilles d’automne : À Partir de n° 2, Papier Machine n° 10 « Loupe », Demain les flammes n° 4

C’est de Paris que je vous écris. Reconfinés pour les semaines qui viennent. Les attentes de décisions, le confinement ont provoqué des procrastinations.   Les trottoirs se parent des couleurs de saison et, regardez ces couvertures, comme elles semblent de circonstance : elles sont pourtant parues ce printemps, cet été, gardées, relues, envisagées (mais sans masque).

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