Au fil des livraisons

La carte et les territoires

  On a Mattang sous les yeux : un format 17 x 26 cm, des textes imprimés à l’encre verte sur un papier couleur ivoire, une quarantaine de pages. Lecture faite de cette revue qui a vu le jour du côté de Strasbourg à l’initiative du visiblement très doué graphiste bientôt trentenaire Léo Tanguy, on

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Volcanique Kipuka

  Voilà une parution qui réconcilie l’auteur de ces lignes avec ses lointains et ennuyeux cours de sciences et vie de la terre à la fac ! Ainsi sont les passionnés : ils ne ménagent pas leurs efforts et ne comptent pas leur temps pour partager leur passion, pour la rendre aux uns et aux autres communicative. Seul

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Une revue singulière

  Il se remarque tout de suite, que c’est un objet singulier. Le format est inhabituel, 15 x 28 cm, un bandeau contient la revue. La main glisse sur la pliure de la couverture (mais est-ce la couverture ?) : pas d’agrafe, ni de couture. Le lettrage est sobre, noir sur blanc, et le bandeau

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Carnet de bal : Rien de précis #000

Certaines revues vous arrivent ainsi, sans crier gare.   Elles suscitent un je-ne-sais-quoi, rien de précis. Quelque chose comme une cristallisation.   Un air de famille, comme si elle agrégeait un « air du temps », moins une impression de déjà-vu que l’écho d’autres revues appréciées. Pêle-mêle, pour le format, le papier c’est Chiche, le

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Un monde à part : Les Sports modernes

Si les tensions paradoxales continuent d’exister entre le sport et les pratiques artistiques, ambiguïtés médiatiques et culturelles auxquelles le monde de la revue ne déroge pas, malgré des particularités que nous avons décryptées ailleurs, il est tout aussi vrai que le sport constitue un domaine désormais légitime pour l’étude des sciences humaines et sociales. Phénomène

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L’Ouroboros no 6 : numéro vert

  Et de six pour L’Ouroboros qui ne ménage décidément pas ses efforts pour nous livrer à chaque fois un numéro de toute beauté. Celui-ci n’est pas moins riche que les précédents, vêtu tout de vert laitue, et toujours placé sous le signe de la diversité. Pas un domaine ne semble échapper à la curiosité

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Niqui Causse, espace à part

Qu’est-ce que c’est que ça, Niqui Causse, deux numéros au compteur depuis janvier 2023, édités par Éric Pesty en collaboration avec les imprimeuses Célie Miloch et Évane Priou ? De toute évidence, c’est d’abord une forme : une feuille de grande taille (format A3) est pliée plusieurs fois pour, finalement, se présenter à la manière d’un courrier

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Millet à la loupe

  Il y a assurément et profitablement à glaner dans la dernière livraison des Moments littéraires qui n’a peut-être d’ailleurs jamais si bien porté son sous-titre : la revue de l’écrit intime. Car, oui, de l’intime il est question dans ce 50e numéro, en long, en large et en profondeur. D’abord, bien sûr, dans le dossier

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C’était en 2018. Déjà ? (sur Bouclard n° 5)

  Cinq ans passés, à recevoir des nouvelles, des publications de livres, de revues parfois. Et Bouclard publie son cinquième numéro et nous annonce que c’est le dernier !   Nous avions chroniqué le premier numéro, riche de promesses, emplis de fantômes (souvenir de l’Institut Métapsychique International, à Paris, photographié par Emmanuelle Corne). Et si

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Meteor au rapport

  Enthousiasmante, cette revue qui se veut toute de « création poétique » ! Voilà le 4e numéro de Meteor – oui, sans accents ni « e » à la fin – une publication que, pour ma part, je n’avais encore jamais lue. Et c’est une heureuse découverte, vraiment. Qu’une revue puisse mettre Sandra Lillo

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