Le onzième numéro de la Revue Giono rassemble, comme chacune de ses livraisons, un nombre impressionnants de documents et d’études consacrés à l’oeuvre du plus célèbre des écrivains de Provence. On y retrouve un goût, une saveur, une disposition face au monde qui réveillent de grands souvenirs de lectures, comme une espèce de traversée d’une
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La forme de la démocratie varie. Et il est bon que le dernier numéro de Diasporiques nous rappelle qu’elle n’est en aucun cas l’évidence qu’elle paraît. Car on y baigne tant qu’on en oublie le sens, la pluralité d’acceptions qu’elle recouvre, la complexité de sa nature et de son fonctionnement. La première qualité du débat
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Le 173e numéro d’estuaire est consacré au portrait. C’est risqué, se dirait-on. Comment ne pas choir dans le fourre-tout ou dans le cliché, comment éviter le banal, la redite ? On se souvient de Michel Leiris s’observant avec une attention impitoyable au début de L’Âge d’homme. On connaît les portraits fascinants des poètes de la Renaissance
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Alain Veinstein n’est pas qu’un poète qui a marqué les années soixante-dix et impulsé – avec Jean Daive et d’autres – une direction nouvelle à la poésie en France, la marquant sur la longue durée. Ce n’est pas non plus seulement l’interviewer de France Culture qui ne disait pas grand chose mais ouvrait une espèce
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Pour tout avouer, je ne connais pas grand chose à la littérature de l’Île Maurice. J’y entends quelques échos de lectures d’adolescence, de Le Clézio surtout, de son Chercheur d’or, de La Quarantaine… Plutôt fidèle, je lis ses romans quand ils paraissent, avec une espèce de patience un peu bovine. Il n’y manque pas d’attention,
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Pour une quinzaine de jours, l’équipe d’Ent’revues prend le large. Quelques jours de repos qui ne nous font pas oublier de lire toutes sortes de revues, de continuer de préparer le Salon de la revue des 9, 10 & 11 novembre prochains pour lesquels vous pouvez encore vous inscrire en suivant ce lien, concocter
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Dans le premier tome de son Journal de travail (paru ce printemps chez Actes Sud), Patrice Chéreau dit, dès le début, à la fois les obsessions qui l’habiteront toute sa vie, sa pulsion de travail, la nécessité de l’effort, le poids de l’invention d’une forme adossée à une autre forme, la confrontation des corps, leur
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les Hommes sans Épaules consacre son 45e numéro à la poésie chilienne. C’est l’aventure intellectuelle et poétique d’un peu plus d’un siècle qui s’y lit, passionnément. La poésie chilienne s’attache, semble nous dire Christophe Dauphin, à ses contingences propres. À son histoire coloniale tout d’abord, à la conquête espagnole et à l’asservissement
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Pour cette « revue intermittente de littérature » dont le numéro 85 a été publié au printemps 2016, il n’y a pas lieu de prendre un abonnement, « mais ceux qui ont été souscrits par le passé seront honorés au fil du temps ». C’est ainsi que nous prévient Edmond Thomas, créateur de la revue au sens plein du
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Les Cahiers Yves Navarre reprennent les actes des colloques que l’Association de ses amis lui consacre, désormais tous les deux ans. Ils explorent successivement de nombreuses facettes du travail de l’écrivain et ouvrent des pistes pour faire lire de nouveau un auteur presque disparu, tout en accompagnant, au fur et à mesure, la publication raisonnée
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