La Tribune du Jelly Rodger n° 5
Il s’y mettent à treize pour écrire, et à dix-huit (mais une fois, c’est le même) pour illustrer-peinturlurer les vingt quatre pages de ce journal de propagande poétique, pour faire vibrer la belle bichromie au gré de rubriques qui en ont l’air, petites annonces, horoscope (je suis… Punaise !) mais qui toutes décalent, tordent
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