« L’appétit du Merveilleux rebondit toujours » écrivait Pierre Mabille. On pourrait en dire autant de l’œuvre merveilleuse de Benjamin Péret sur laquelle veille fidèlement les Cahiers Benjamin Péret. Nous en avons déjà rendu compte ici-même, inutile de revenir sur la parfaite présentation de la revue, le soin et l’originalité de ses choix éditoriaux comme de son
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La maîtrise de l’aquarelle n’est pas donnée à tout le monde. Mais qu’est-il passé par la tête de Papier Machine ? De son papier tout détrempé s’échappent volutes et coulures, diaprures et niellures qui déparent lettrines et titres. Quant au titre ! De donner carte blanche aux jeunes talents peut conduire à des
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Ne l’avait-on pas dit morte ?…Et pourtant la revoici, pour la première fois sous des habits de papier : Paysages écrits publie et imprime donc son numéro 28 (octobre 2017). Premier mouvement en 3 noms : Sanda Voïca, sa directrice bien sûr, Paul Celan, Philippes Boutibonnes. De Boutibonnes, l’image de couverture, un portfolio (partagé avec Danièle
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Ce numéro 15 des Cahiers de l’École de Blois sera le dernier dirigé par Jean-Christophe Bailly qui a cessé d’enseigner dans cette structure dédiée au paysage depuis septembre 2015. L’auteur du Dépaysement (2011), dont on sait par ailleurs toute l’implication dans la vie des revues, est parvenu au fil des livraisons à faire
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Quel goût aurait le numéro 40 de Rehauts ? Celui du thé ? « Délicatesse de la cérémonie du thé/qui m’apaise », « Cette amertume que je bois/Se répand dans mon corps/Et je ne meurs pas » (Jean-Claude Caër au cœur du Japon des temples, cimetières, sanctuaires). Au-delà de l’amer, un goût de mort, de rien si obstinément cultivé qu’il
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Revue annuelle née en 2013, larevue* est un laboratoire de langues à l’entrée duquel un épigraphe de Paul Valéry tient lieu de sentence du Dante (« Il y a en moi quelque faculté plus ou moins exercée, de considérer, – et même de devoir considérer – mes goûts et mes dégoûts comme purement accidentels. »). Toi
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Panthère Première est plus qu’une revue. Panthère Première est un collectif, un projet, une vision, un acte. Des femmes décident de fonder un espace de réflexion et de création à l’équipe éditoriale non-mixte. Elles publieront aussi des textes écrits par des hommes, mais leur non-mixité assure surtout aux autrices sous-représentées de gagner un nouveau
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En ce jour de rentrée des classes en France, voici un premier devoir (une manière de liste, mais pas de fournitures) et un cours d’histoire. Vous les retrouverez accompagnés de poèmes de Stéphane Korvin, Claude Royet-Journoud, d’un dessin de François Barbâtre et du souvenir d’une conversation avec Robert Grenier, par Martin Richet.
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Ils ont attendu quelques mois, afin de faire coïncider l’anniversaire (40 ans) avec ce 300e numéro ! Un numéro qui fait la part belle aux témoignages, aux images (très beau cahier de photographies), un retour sur le passé – notamment une anthologie de quinze textes publiés dans la revue – avec l’esprit déjà dans l’avenir,
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Impossible d’élever la moindre objection. Conséquence répond parfaitement à son titre programmatique. Comme l’explique en préambule Paul Laborde, co-directeur de la publication avec Victor Martinez, le numéro #1 interrogeait la manière d’écrire des philosophes en questionnant la conjonction entre le style et l’existence. Réponse : un hiatus. Quant à ce numéro #2, il tire
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