Les portraits de l’estuaire
Le 173e numéro d’estuaire est consacré au portrait. C’est risqué, se dirait-on. Comment ne pas choir dans le fourre-tout ou dans le cliché, comment éviter le banal, la redite ? On se souvient de Michel Leiris s’observant avec une attention impitoyable au début de L’Âge d’homme. On connaît les portraits fascinants des poètes de la Renaissance et
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